Trois mois après la publication du décret, les chauffeurs utilisant Uber ont eu des résultats bien en deçà de ceux des chauffeurs de taxi classiques. Sur 92 chauffeurs contrôlés, 21 appliquaient des prix trop élevés et les contrôleurs ont saisi 14 licences. Ce sont les statistiques depuis le mois de janvier 2018. Les chauffeurs de taxi classiques en revanches ont affiché de très bons résultats : sur les 292 contrôles, seulement deux chauffeurs appliquaient des prix trop élevés. Cela représente moins de 1% des chauffeurs.
Prague a dû composer avec des problèmes de tarification, de faux taxis et des chauffeurs ne respectant pas les règles lorsqu’ils fournissent des services via une application comme Uber.